ACCUEIL Découvrir Simorre Histoire L’église de Simorre L’église de Simorre l’Abbaye bénédictine La tradition veut que l’abbaye bénédictine de Simorre ait été fondée par Clovis à l’emplacement d’un oratoire édifié par Saint-Cérats qui fut l’évangélisateur de la région au Vème siècle. Après les ravages des Sarrazins, en 722, elle dut aliéner ses dîmes et ses biens afin de réparer ses désastres. Elle n’est cependant mentionnée pour la première fois qu’en 817 ; avec sa voisine de Saramon, elle fait partie des établissements religieux que le synode d’Aix-la-Chapelle exempte d’impôts en raison de leur grande pauvreté. Cependant, grâce aux Carolingiens elle retrouva une partie de sa splendeur, et les Normands, en 920, purent faire en ses cloîtres une abondante moisson de richesses. Elle connut une prospérité notable au cours des Xème, XI ème et XII ème siècles grâce à d’importantes donations. …L’accroissement de la puissance des moines… provoqua la jalousie des comtes d’Astarac dont la « capitale » se trouvait à quelques kilomètres en amont de Simorre, au lieu dit Castillon sur le territoire de la commune actuelle de Villefranche d’Astarac. Il s’ensuivit une querelle qui prit parfois un tour violent et se prolongea jusqu’à la fin du XIIIème siècle. Alors même que cette querelle battait son plein, les religieux avaient entrepris la reconstruction des bâtiments de leur abbaye dont ils achevèrent la chapelle capitulaire en 1244. Le conflit terminé par le déboutement du Comte d’Astarac en 1287, l’abbaye rentra en possession des terres et des revenus dont elle avait été spoliée et connut alors une nouvelle ère de prospérité. Onze ans plus tard l’archevêque d’Auch, Amanieu II, consacra la nouvelle église le 8 octobre 1309. L’histoire de l’abbaye fut ensuite relativement calme ; épargnée par le Prince Noir en 1355, elle resta hors de portée des protestants qui assiégèrent SIMORRE en 1573. Mais depuis 1558, elle était tombée en commende, c’est à dire aux mains d’un abbé nommé par le roi et souvent plus soucieux de ses intérêts que de ceux de l’abbaye. A la Révolution, le cloître et les bâtiments conventuels furent vendus, puis démolis. Seule l’église abbatiale fut épargnée car elle servait, depuis 1141 aux habitants comme aux moines. Eglise abbatiale Notre Dame L’église abbatiale fortifiée de Simorre Un chef d’œuvre de la brique égaré dans l’Astarac de la pierre. Dédiée à Notre Dame, elle fut élevée sur l’emplacement de l’église précédente qui s’étendait peut-être davantage vers l’ouest car des travaux effectués en 1900 mirent au jour des restes de construction dans le prolongement de la nef actuelle. On pénètre dans l’église par une porte placée au midi et dont les voussures en arc brisé reposent sur des colonnettes à moulures semblables disposées dans les ébrasements ; elles sont encadrées par un bandeau à la base duquel se détachait un visage humain ( il ne reste que celui de l’ouest). Seuls deux des huit chapiteaux recevant les voussures ont conservé leur décor formé pour l’essentiel de deux animaux ailés affrontés ; on reconnaît également un oiseau dont les pattes et la queue sont dévorées par des monstres, un animal ressemblant à un hippocampe mais pourvu de pattes et dont la queue se termine par une tête dévorant les pattes. D’importants travaux de restauration furent effectués entre 1844 et 1858 sous la direction de Viollet-le-Duc. La toiture, qui portait sur les murs fut abaissée de façon à reposer directement sur les voûtes et un crénelage fut établi autour de l’édifice ; le dernier étage à petites fenêtres du clocher et de la tour lanterne fut écrêté pour réaliser un crénelage ; les contreforts du chevet et du bras du transept furent pourvus d’une échauguette et coiffés d’une pyramide à l’imitation de celles qui existaient déjà sur les contreforts du bras sud du transept. D’après P. Mesplé (1975), ce grand théoricien, qui a fait tant de mal à ce qu’il a souvent prétendu parfaire, a réalisé ici un petit chef d’œuvre. Sous l’impulsion de l’abbé H. Ramakers (1917-1977) des travaux de restauration et de consolidation ont été entrepris : le chevet et le transept furent débarrassés de leur crépi et la remise en état du sacraire permit la découverte de peintures murales en 1964. Ensuite, le service des Monuments Historiques a fait réparer le crénelage de la tour-lanterne et réviser la toiture. Le sol est situé trois marches en contrebas par rapport à la place dont le niveau a été exhaussé au cours des siècles par l’accumulation de matériaux divers destinés à l’assainir. L’église est d’une parfaite unité car bâtie en peu de temps, et présente un plan très simple en forme de croix latine de dimensions : Longueur totale : 23,80 m Longueur du chevet : 8 m Longueur du transept : 25,50 m Largeur du chevet, de la nef et du transept : 12,10 m La nef primitive avait été conçue à 4 travées. Des fouilles, exécutées à l’ouest en 1901 révélèrent des soubassements qui ne supportèrent probablement jamais de murailles. Un mur provisoire a du être élevé après l’achèvement de la 2ème travée. Il est également permis de supposer que la lanterne constitue la base d’un clocher octogonal inachevé, peut-être par crainte de compromettre la solidité du vaisseau non étayé. C’est vers 1350 que furent édifiés le clocher et la sacristie, obstruant les quatre baies au Nord, mais qui sont bien dans le style de l’église. Son aspect sévère n’est atténué que par les arcs simulés de ses murs criblés de trous de boulin et par les nombreuses baies fenêtres à lancettes tribolées et roses de grand diamètre qui l’éclairent. Le matériau utilisé est la brique sauf pour : les croisées d’ogive quelques chaînages d’angle les réseaux des baies le cordon qui la ceinture au niveau des impostes les voussures et piédroits de la porte du sud qui sont en pierre. Tous les supports sont constitués de pilastres sur dosserets avec angles chanfreinés ; à la croisée du transept, des trompes soutiennent une coupole nervée que surmonte une tour lanterne octogonale dont chaque pan est percé d’une baie en mitre. Le décor sculpté est réduit, il se limite aux chapiteaux des fenêtres, aux clefs de voûte, aux pilastres de la croisée de la nef et du transept où figurent les symboles des évangélistes : Taureau de Saint Luc au nord-ouest Aigle de Saint Jean au nord-est Homme de Saint Matthieu au sud-ouest Lion de Saint-Marc au sud-est. En 1442, la nef qui ne comportait que deux travées reçut une travée supplémentaire un peu plus courte pour laquelle on employa la pierre qui venait de l’abbaye « fille » de Sarrancolin, rompant ainsi assez fâcheusement l’harmonie générale de l’édifice. Au début du XVIème siècle, on rebâtit la chapelle de Sainte Dode (la 1ère construite en 1356 avait disparue) mais on la fit au midi précédée d’un vestibule en l’honneur de Notre Dame qui cachait la belle porte du XIIIème siècle et la galerie crénelée qui la surmonte. En 1901, la chapelle Sainte Dode et son vestibule disparurent, ce qui dégagea dans toute sa beauté la porte du midi. Les Verrières L’église conserve huit verrières anciennes qui furent plusieurs fois restaurées au cours du siècle dernier. Celles des quatre lancettes de la baie supérieure du chevet datent de 1357, elles furent offertes par Bernard de Lafitte qui était « pitancier et prieur claustral ». D’une tonalité claire, elles comportent deux registres superposés de composition similaire : au registre inférieur : une Vierge à l’Enfant, placée sur la seconde lancette à partir de la droite, est encadrée par des personnages debout ou agenouillés qui se tournent vers elle (Saint Louis portant la couronne royale et la palme du martyre, Saint Benoît accompagné d’un disciple et Saint Cérats). au registre supérieur : le motif central est une Crucifixion, placée sur la même lancette que la Vierge à l’Enfant. A la Vierge et Saint Jean au pied de la croix est venu s’ajouter Saint Cernin qui fut le premier évêque de Toulouse. Tous ces personnages sont placés sous des dais d’architecture qui se rapprochent de ceux des verrières de la cathédrale de Narbonne exécutées également au XIVème siècle, les fonds sont alternativement bleus et rouges comme c’était la mode. Les verrières des trois baies inférieures ont la même disposition en deux registres superposés. Elles ont été exécutées au XV ème siècle et se distinguent par la forme des dais qui sont alternativement polygonaux avec balustrade ajourée et à galbe aigu. Les fonds sont damassés et l’illusion de la perspective est donnée par les dallages. au registre supérieur : les personnages sont de droite à gauche : Othon et Mayeul qui furent tous deux archevêques d’Auch, une Vierge à l’Enfant, Saint Benoît avec un disciple, Saint Michel terrassant le démon et saint Jacques de Compostelle. au registre inférieur : on distingue : un personnage féminin couronné tenant la palme du martyre et un livre, Sainte Marie Madeleine, Saint Pierre et Saint Paul, Saint Barthélemy (?) , un personnage masculin avec une colombe posée sur la main gauche et une main tranchée dans l’autre. Des verrières de même type ornent les deux lancettes des baies du mur sud du chevet et du mur oriental du bras du transept, on y voit d’une part : au niveau supérieur: Saint George et Sainte Catherine au niveau inférieur: un moine palmigène et un évêque non identifié. Et d’autre part : au niveau supérieur: une Vierge à l’Enfant et un Christ en croix entouré par la Vierge et Saint Jean. au niveau inférieur: un évêque palmigène et Saint Jacques. La verrière du bras sud du transept représente Saint Cérats entouré de motifs appartenant au répertoire décoratif de la Renaissance. C’est l’abbé Roger Labarthe qui la fit exécuter : son blason, dérivé de celui de la famille de Labarthe y figure sur le soubassement. La verrière de la deuxième travée de la nef, en face de l’entrée sud est presque contemporaine de la précédente. Elle représente la Vierge à l’Enfant accompagnée de Sainte Dode -sœur de Quitterie la martyre du mas d’Aire- et porte les armes de Jean Marre et celles de l’abbé Jean de Galard mort en 1536. L’attribution de l’une ou l’autre de ces verrières à Arnaud de Moles qui réalisa celles de la cathédrale d’Auch, est à rejeter. Il y avait au XVIème siècle un grand nombre de maîtres verriers comme l’attestent certaines de leurs œuvres conservées dans de modestes édifices proches de Simorre comme l’église de Villefranche d’Astarac ou celle de Pis à Bellegarde-Adoulins. La verrière du bras Nord du transept date de 1880. Bien que son auteur se soit efforcé de l’harmoniser avec celles du chevet, elle est loin d’avoir leur qualité. Les stalles Elles sont classées Monuments Historique depuis 1962. Elles ont été exécutées sous l’abbé Roger de Labarthe (1492-1519) grâce à la générosité de Jean Marre. Elles se trouvaient, à l’origine, sur une tribune au fond de la nef, selon la mode basque ou espagnole et ont été transférées dans le chevet en 1780. Pour éviter de les détériorer, par une ouverture parasite, on ferma la porte de la sacristie que l’on ouvrit sur le transept ; on avança l’autel, agrandissant le sanctuaire que l’on entoura d’une balustre en fer forgé de style Renaissance qui ne s’accorde guère avec l’intérieur austère de l’église. Les stalles, au nombre de 38, sont sur deux rangées, disposées symétriquement par rapport au siège de l’abbé qui est situé en léger décalage par rapport à l’axe de l’édifice. Surélevées de deux marches, les 26 stalles de la rangée supérieure possèdent de hauts dossiers séparés par des pilastres moulurés, elles sont surmontées d’un dais continu se terminant par une corniche sobrement moulurée pourvue d’une balustrade ajourée avec pinacles peu développés et sans crochets. Le décor de la cage ajourée du siège abbatial a fait l’objet d’un soin particulier. Un blason tenu par deux anges figure à sa partie supérieure. Il a été mutilé à la Révolution mais celui de la miséricorde, qui est intact, montre les armes de Roger de Labarthe. Une Annonciation est représentée sur les côtés : à droite : l’archange Gabriel, les ailes repliées, désigne le phylactère enroulé autour de son bâton de messager et sur lequel figurait la salutation angélique. à gauche : Marie qui lisait au moment de son arrivée, l’accueille d’un geste de la main. Sur le dossier de la stalle située à gauche de l’abbé, on remarque un » tableau de service » orné de rangées de trous permettant au frère » hebdomadier » de marquer à l’aide de chevilles la présence des religieux aux offices. Un second tableau s’observe sur le dossier de la première stalle à gauche de la rangée supérieure. Les miséricordes des stalles réservées aux moines sont simplement pourvues de pendentifs de facture assez raide. Le décor sculpté ne concerne que les accoudoirs où sont installés de petits personnages religieux (évêque, prêtre en prière, moine dans la même attitude ou tenant un livre) ou laïques ( paysan muni d’une faucille ou portant une hotte emplie de fruits, bourgeois en prière ou tenant des cartes à jouer, joueur de flûte, de cornemuse…). On y trouve également des motifs végétaux et surtout des animaux réels ou fantastiques. A noter l’humour du personnage qui, transformé en cornemuse, fait de la musique avec sa tête devenue tuyau ou du cynocéphale prêchant dans une chaire au pied de laquelle se trouvent deux aigles. Les jouées, c’est à dire les panneaux extérieurs d’une série de stalles ou ceux marquant un passage entre ces dernières, sont toutes occupées par une scène placée sous un arc trilobé. La jouée de gauche du passage conduisant à la stalle abbatiale montre le baptême du Christ, elle est surmontée de Saint Jean-Baptiste désignant l’Agneau couché sur son genou gauche et de Saint Jean rédigeant son Évangile avec, à ses pieds l’aigle qui est son symbole ; l’oiseau tient une écritoire dans son bec. La jouée de droite, montre le baptême de Clovis qui, selon la tradition, fut le fondateur de l’abbaye. Au-dessus figurent Saint Pierre reconnaissable à sa clé et Saint Paul tenant serré contre lui le glaive qui le décapita. L’un et l’autre présentent un livre ouvert. La jouée extérieure gauche des stalles basses est occupée par le martyre de Saint Sébastien qu’un archer s’apprête à transpercer d’une flèche. Au-dessus figure une lapidation de Saint Etienne, malheureusement fort endommagée. La jouée extérieure de droite montre le Péché originel. Saint Matthias qui tient à deux mains la hache de son supplice, est assis sur le couronnement (par une singulière ironie, la statuette a été décapitée à la Révolution) il se tourne vers Saint Jacques le Majeur qui, dans la même position, tient son bourdon à la main droite et désigne de l’autre le livre ouvert posé sur son genou. Bien que flamboyant, le décor des stalles se signale par une remarquable sobriété, surtout lorsqu’on considère l’époque à laquelle elles furent exécutées. Elles semblent pour cela devoir être attribuées à un atelier local qui, insensible aux nouveautés venues d’Italie ou d’Allemagne, était dans la pure tradition du gothique français. À l’exception de la Vierge et de l’archange Gabriel du siège abbatial qui se distinguent par un canon plus élancé et par le modelé délicat de leur visage, les figures des accoudoirs et des jouées sont très trapues, mais cependant d’un réalisme savoureux laissant une large place à l’humour. Les peintures du sacraire Des peintures murales ont été découvertes en 1964 au cours des travaux de restauration de l’ancien sacraire utilisé comme sacristie depuis 1901 ; elles datent du premier quart du XIVème siècle et sont donc postérieures de peu à la construction de cette annexe. La voûte, qui est croisée d’ogives, montre un semis d’étoiles noires et de fleurettes rouges ; un galon blanc timbré de quadrilobes noirs borde les arcs et la clef de voûte ornée d’une marguerite à pétales jaunes. Les murs sont couverts d’un faux appareil tracé en noir (les pierres portent chacune une fleurette rouge en leur centre) et sur lequel se détachent des panneaux traités comme s’il s’agissait de tapisseries ou de tableaux sur bois. Le programme iconographique a été sans doute dicté par le désir de représenter certains des Saints dont les reliques étaient conservées ici, et par la nécessité de peindre une Crucifixion sur le mur oriental contre lequel était adossé un autel. Cette Crucifixion se présente comme un triptyque dont la partie centrale, mutilée par l’ouverture d’une fenêtre en 1901, montre le Christ en croix encadré par la Vierge et saint Jean, dans chacun des panneaux latéraux, un ange richement vêtu balance un encensoir de la main droite et tient une navette à encens de l’autre. Le mur Nord comporte deux scènes historiées disposées de part et d’autre de la fenêtre. A gauche: la tempête que Dieu envoya pour prolonger la dernière rencontre de Sainte Scholastique et de Saint Benoît dont la mort survint peu après. Au centre du panneau, Scholastique, tout de noir vêtue et nimbée, est encadrée par deux moines bénédictins ; la violence de la tempête est indiquée par l’inclinaison à angle droit -et en sens inverse- du feuillage des arbres de part et d’autre des personnages. Sur le panneau opposé, saint Michel foule aux pieds le démon dont il ne subsiste que le mufle, une patte arrière et la queue. Il enfonce dans sa gueule la pointe de la lance surmontée d’une croix qu’il tient dans la main droite ; de l’autre main, il interpose un bouclier marqué d’une croix rouge, entre la créature et lui. Trois évêques sont représentés en pied sur le mur sud, sous des dais d’architecture inclus dans un panneau rectangulaire. Figés dans la même attitude conventionnelle, ils font un geste de bénédiction de la main droite et tiennent leur crosse de l’autre ; la seule inscription conservée permet d’identifier le personnage central comme étant Saint Sernin. Ce décor peint, rappelle par certains aspects celui de la chapelle Saint-Antonin du couvent des Jacobins à Toulouse. 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BSAG = Bulletin de la société archéologique du Gers.